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D1 – Nice Cavigal

1er article d’une série de 10 pour présenter les équipes qui s’affrontent en championnant Division 1 en 2022

Le club naît en 1943 de la fusion de l’AS Casino, de la Victorine et du Gallia Club. En 1955, le club fusionne avec la section basket de Nice Sports. C’est en 1988 que nait la section baseball, par l’absorption du Quartz Baseball Softball. En 1989 le club de Nice Dynamic’s est absorbé par le Cavigal.
Après avoir évolué en élite en 2002, l’équipe fanion a évolué quelque temps en Nationale 1 (Division 3). En 2017, elle est promue en Division 2. Retour en D1 en 2019.

A noter: Baseball sénior: Champions de France de Nationale 1 en 2000.

Softball féminin : 17 fois championes de France.

Softball masculin : champions de France en 2011.

Softball Mixte champions de France en 2015.

Avec une fiche de 5 victoires pour 15 défaites, le Nice Cavigal termine la saison 2021 dernier du classement B et avant dernier du classement général juste devant les Arvernes de Clermont, absents du plus haut niveau pour la saison à venir.

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Le Cavigal n’a rejoint la ligue qu’en 2019, lorsque la D1 est passée de huit à 12 équipes, où les niçois présentent un résultat final d’une seule victoire contre 19 défaites (saison 2020 format « Summer league »). C’est peu dire que les sudistes peinent à s’imposer en première division. Pourtant emmenés entre autre la saison passée par un des joueurs les plus productifs du championnat: Jonathan Montas (478 AVG, 556 OBP, 722 SLG). De belles individualités pourtant mais à ce niveau, c’est l’expérience et l’épaisseur du line-up qui a peut-être fait défaut. Pour 2021, les Cavigals n’ont pourtant pas démérité sur le monticule: avec encore Montas ou Teramura. Une ERA globale de 5.89 pour 202 K mais 140 BB.

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L’histoire des Cavigals en D1 est une jeune histoire. Presque une génèse. Le championnat D1 est occupé en partie par de vraies « stars » du baseball français, beaucoup d’internationaux et quelques « molosses » dont bien sûr, les étrangers. Pour maintenir le cap et ne pas simplement survivre, il faudra être « clutch » au bâton, saisir chaque opportunité, renverser la vapeur quand les choses paraitrontt compliquées, ne pas subir. Les erreurs se paient très cher. Les niçois en ont commis 69 en 27 matchs.

Si c’est contre Clermont et Metz que les Cavigals se sont le mieux exprimés, il faudra peut-être, pour grimper le classement compter sur une stratégie accrue. Vols de bases, sacrifices… Ayant joué quelques matchs accrochés face à La Rochelle ou même Sénart, les Cavigals en l’absence de Clermont, peuvent espérer accrocher les Cometz, les Boucaniers comme ils l’ont fait l’année passée.

Vincent Picard

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