Qui pour les rencontrer ?

Attention tout le monde, les Texas Playboys débarquent en France

Au cœur du Texas, juste à l’extérieur d’Austin, une « équipe hétéroclite d’artistes et d’aventuriers », comme ils se décrivent, se réunissent régulièrement pour Play Ball !

Ils s’appellent les Texas Playboys et, depuis 2006, ils sont des membres actifs de la soi-disant «Sandlot Revolution», une affiliation de joueurs et de clubs qui croient que leur style particulier de baseball «représente une nouvelle ère accessible, inclusif et amusant à nouveau.»

Le nom du jeu est sandlot ball. C’est du baseball, mais avec un accent sur le plaisir, sur la construction d’amitiés, avec un mélange d’âges et de niveaux de compétence, et joué sur des terrains – même sur un terrain de sable (sandlot) – qui ne sont pas nécessairement en parfait état.

En plus de leur programme régulier de matchs à Austin et dans les environs, les Texas Playboys organisent également une mission annuelle de barnstorming, comme ils l’appellent.

Ils emmènent leur spectacle sur la route, en d’autres termes, en choisissant une destination et en organisant un match ou deux contre une équipe locale ou n’importe quel mélange de joueurs prêt à relever le défi.

Alors qu’est-ce que tout cela a à voir avec le baseball français ?

Oui, comme vous l’avez surement deviné, les Texas Playboys se préparent à déferler sur la France ! Oh la la.

Plus précisément, ils se dirigent vers Mouy, dans la région des Hauts-de-France (à environ 85 kilomètres au nord de Paris).

Les visiteurs savent exactement quand ils seront là – du 3 au 6 août – mais ce qui leur manque, jusqu’à présent, ce sont des adversaires volontaires.

C’est là que vous, nos lecteurs, pouvez nous aider. Faisons passer le mot et voyons si nous ne pouvons pas montrer à ces Texans un peu l’hospitalité française.

La question est donc la suivante : qui veut jouer les Texas Playboys ?

Merci d’avance

Les équipes ou les joueurs (il peut s’agir d’un ensemble de différents joueurs de différents clubs) qui pourraient être intéressés, veuillez contacter Berndt Mader (de préférence en anglais) :

email Berndt Mader